Depuis le début des travaux relatifs à la trémie, la route reliant Boufarik à Soumaâ a été interdite aux automobilistes au niveau de la gare ferroviaire, cependant un passage pour piétons a été aménagé.
En effet, il y a un collège et un lycée que les élèves doivent rejoindre mais il y a aussi, au-delà de la voie ferroviaire, des localités telles que Ghraba, Bahli, Hallouya et Soumaâ vers lesquelles se rendent les voyageurs qui empruntent des fourgons privés. De nombreux étudiants, qui descendent du train en provenance du centre et de l’est d’Alger, pour aller à l’université de Soumaâ doivent également utiliser ces mêmes moyens de transport. Tout ce beau monde s’engouffre dans une étroite rue piétonnière de moins de deux mètres de large. Aux heures de pointe, c’est le coude à coude. Un fonctionnaire exerçant dans un CEM déclare furieux : « Cela fait trois hivers que l’on patauge dans la boue. Pourquoi ne pas y remédier en étalant du gravier ? ». Mais la vraie solution consiste à achever le plus vite possible les travaux de la trémie qui traînent depuis plusieurs années.
Source: El Watan - Edition du 21 octobre 2009
http://www.elwatan.com/Boufarik-Le-retard-pesant-de-la