La mendicité en ces temps de crise se propage de manière alarmante. Ce fléau devient même un métier pour certains qui exploitent ainsi les enfants et les personnes handicapées.


Ces « faux mendiants » sont partout, à l’intersection des principales artères de la ville, devant les mosquées et surtout à deux endroits très fréquentés par les citoyens : la gare routière et le marché hebdomadaire du lundi. Ils utilisent la ruse pour susciter la compassion chez les gens. Ces pseudo-mendiants ne laissent même pas de place aux vrais nécessiteux qui tendent la main en silence en baissant la tête. Certains s’affichent avec des enfants en bas âge alors que d’autres exposent des ordonnances, des certificats médicaux ou des cartes d’handicapés. « Une famille de mendiants, composée du père, de la mère et de deux jeunes filles, est même parvenue au fil des années à amasser assez d’argent pour acheter un appartement en se dispersant dans les coins les plus fréquentés de la ville », témoigne un jeune homme.


ElWatan - Edition du 21 février 2010


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