C’est demain, mercredi, que l’opération de délocalisation du marché informel jouxtant la mosquée El Bachir El Ibrahimi (centre-ville) aura lieu, et ce, dans le cadre de la libération de l’espace relevant du domaine public et qui était squatté pendant plusieurs années par des commerçants de l’informel.

Abderrahmane Farrah, âgé de neuf ans, est un enfant pas comme les autres !  Pourquoi cette particularité ? Ce petit génie, issu d’une modeste famille de Benhamdane, au nord-ouest de Boufarik (Blida), a appris le Coran à l’âge de sept  ans.

«C’est un miracle de Dieu, car à l’âge de deux ans et huit mois, au moment où les bébés commencent à syllaber, Abderrahmane avait, sans aucune contrainte linguistique, prononcé les premiers versets des sourates Meriem, El-Kahf  et autres», se rappelle son père toujours sous l’émotion, et d’ajouter : «A ce moment-là, j’étais abasourdi, je n’en croyais pas mes oreilles, l’information s’est propagée comme une traînée de poudre, jusqu’au moment où il fut invité par le président de la République pour constater ce miracle divin».

Aimé et apprécié par ses institutrices et son directeur, cet élève, inscrit en cinquième année primaire à Benhamdane, est un enfant aussi doué en classe avec ses pairs, il est toujours en concurrence avec quelques camarades, et s’il n’est pas premier, alors la deuxième place lui revient toujours.

Récemment, Abderrahmane a participé au concours international des récitants du Saint Coran organisé par la haute instance mondiale des apprenants du Coran en Arabie Saoudite, avec la participation de plus de 73 pays, où le petit Algérien a eu à présenter et honorer son pays en présence des hauts dignitaires saoudiens (princes et chouyoukh) car Abderrahmane a eu la première place parmi les dix meilleurs apprenants du Saint Coran au monde.

Et c’est ainsi qu’il a été désigné par l’instance religieuse du concours comme le plus jeune  garçon au monde dans cette prestigieuse prestation coranique où son nom, sa ville et son pays figurent dans le livre Guinness. «Je suis honoré et très content d’être ce que je suis, je continuerai à préserver ce que Dieu m’a donné avec ardeur», a fini par dire intelligemment Abderrahmane avec beaucoup d’espoir.

Source: El Watan - 20 oct 2015

https://www.youtube.com/watch?v=cyVoOcZZ3cE

 

 Avec ses cheveux en pétard, son look assumé et ses chansons en derjda, Mok Saïb a conquis la Toile algérienne avec ses clips et covers. Loin d’être une coqueluche adulée par des ados déchaînés, Mok a déjà imposé son style et s’attelle à la préparation de son premier album solo.

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