Boufarik : une Clio grise sème la panique
Le nombre de personnes victimes de vol à la tire ne cesse d’augmenter à Boufarik et cela même dans les endroits où l’on s’y attend le moins, tels les espaces réservés par l’APC à l’état civil.
Le nombre de personnes victimes de vol à la tire ne cesse d’augmenter à Boufarik et cela même dans les endroits où l’on s’y attend le moins, tels les espaces réservés par l’APC à l’état civil.
Une vidéo sur YouTube montrant le calvaire d’un jeune couple vivant dans une cave à la cité Dallas, à Boufarik, a créé un véritable buzz.
409 habitations précaires ont été récencées à Boufarik et ses environs. Cette opération, effectuée il y a quelques années, concerne les cités Bouchebri, Mimoune, Amiar, Bellouche, Soummam, les domaines Medjadji, Safta, Messous et la gare routière.
Les commerçants exerçant à la rue Souidani Boudjemâa, située au centre-ville, dénoncent le préjudice causé à leur activité par le stationnement, interdit à leurs clients.
Le quartier dit RHP (Résorption de l’habitat précaire) situé au centre de Chebli (w. de Blida) est sous les eaux depuis le mois de janvier.
En voyant que leurs doléances n’ont jamais été concrétisées, en dépit des promesses des autorités locales, des habitants du boulevard des Fidayine à Boufarik n’ont pas trouvé mieux, pour que la loi soit appliquée, que d’interpeller le président de la République.
Un octogénaire, répondant aux initiales A.M, habitant la commune de Soumaa a été violemment percuté par un train ce mardi matin au niveau de la gare ferroviaire de Boufarik.
En effet, au levée du jour, lorsqu’ils arrivent devant leur kiosque, ils ont la désagréable surprise de constater la disparition ‘‘mystérieuse’’ de leur quota.
Boufarik ne cesse de devenir synonyme d’insécurité, sous l’œil passif des policiers.
Les chauffeurs de taxi de Boufarik clament leur colère quant à leur regroupement au niveau de la gare routière de la ville.
Ne la secouez pas, Orangina est déjà au centre d’une bataille aux relents multiples, y compris historiques. L’avenir de la marque de Boufarik dépend désormais d’une justice algérienne, qui tarde à faire preuve de fermeté.
L’éloignement des écoles, les routes dégradées et impraticables et le manque d’infrastructures de base sont parmi les points soulevés par la population locale.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...