Haouch Bourari (Boufarik) : Les raisons de la colère
L’éloignement des écoles, les routes dégradées et impraticables et le manque d’infrastructures de base sont parmi les points soulevés par la population locale.
L’éloignement des écoles, les routes dégradées et impraticables et le manque d’infrastructures de base sont parmi les points soulevés par la population locale.
Les travailleurs de l’hôpital de Boufarik ont observé, avant-hier, un sit-in au sein de l’hôpital pour protester contre les fréquentes agressions dont ils sont victimes et l’insécurité qui règne dans l’hôpital.
Un jeune de 18 ans, répondant aux initiales de C.H., a été mortellement électrocuté, vendredi soir (4 nov 2011), au niveau de la cité des enseignants à Boufarik, (Blida).
Les membres de la Coordination des Patriotes se sont regroupés avant-hier, à haouch El-Gros, à Boufarik, un endroit symbolique de la résistance où ils ont décidé de se lancer de nouveau dans un mouvement de protestation pour revendiquer leurs droits.
Si la cité des 290 Logements LSP, à Boufarik, a été inaugurée en juillet 2010, déjà, son cadre de vie ne cesse de se dégrader et un climat d’insécurité s’y est installé progressivement au vu et au su de tout le monde.
Les habitants de la cité Bendar, à Boufarik, manquent pratiquement de tout.
Deux jeunes personnes qui allaient alimenter la ville de Boufarik en grande quantité de kif ont été arrêtées samedi, en fin d’après-midi, standard les éléments de la sécurité.
Apparemment, les différentes institutions de l’Etat à Boufarik (Blida) semblent être ‘‘faibles’’ par rapport à la ‘‘puissance’’ des commerçants illicites.
Dans une pétition collective dont nous détenons une copie, les habitants de la ville des Oranges s’indignent contre leurs mauvaises conditions de vie.
Un thé à la menthe à l’ombre du plus grand marché hebdomadaire de la Mitidja, la ville des Oranges revît.
Un jeune homme de 27 ans, répondant aux initiales de M.F et habitant un quartier défavorisé à Boufarik (non loin du marché hebdomadaire), s’est aspergé mardi en fin d’après midi, d’essence avant de s’immoler par le feu.
Des bijoutiers indélicats continuent à exercer sans registre de police et font dans le recel des objets subtilisés sur les victimes de vol dans le Grand-Alger.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...