Boufarik : décès de Cheikh Nacer, doyen des imams
Le doyen des imams à Blida, Sidi Moussa Nacer, appelé communément Cheikh Si Nacer, est mort récemment à Boufarik à l’âge de 90 ans.
Le doyen des imams à Blida, Sidi Moussa Nacer, appelé communément Cheikh Si Nacer, est mort récemment à Boufarik à l’âge de 90 ans.
Une centaine de citoyens ont observé, mardi et mercredi, un sit-in devant la daïra de Boufarik, après l’affichage, mardi, de la liste comportant les noms des 104 bénéficiaires des logements sociaux.
Une centaine de citoyens ont observé, tout au long de la journée de mardi, un sit-in devant la Daïra de Boufarik après l’affichage de la liste comportant 104 bénéficiaires de logements sociaux.
Les responsables de l’Office national interprofessionnel du lait (ONIL) vont jusqu’à dire, sans trop convaincre, que la poudre de lait est disponible et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter.
Une vidéo sur YouTube montrant le calvaire d’un jeune couple vivant dans une cave à la cité Dallas, à Boufarik, a créé un véritable buzz.
409 habitations précaires ont été récencées à Boufarik et ses environs. Cette opération, effectuée il y a quelques années, concerne les cités Bouchebri, Mimoune, Amiar, Bellouche, Soummam, les domaines Medjadji, Safta, Messous et la gare routière.
En voyant que leurs doléances n’ont jamais été concrétisées, en dépit des promesses des autorités locales, des habitants du boulevard des Fidayine à Boufarik n’ont pas trouvé mieux, pour que la loi soit appliquée, que d’interpeller le président de la République.
Un octogénaire, répondant aux initiales A.M, habitant la commune de Soumaa a été violemment percuté par un train ce mardi matin au niveau de la gare ferroviaire de Boufarik.
Boufarik ne cesse de devenir synonyme d’insécurité, sous l’œil passif des policiers.
Les chauffeurs de taxi de Boufarik clament leur colère quant à leur regroupement au niveau de la gare routière de la ville.
L’éloignement des écoles, les routes dégradées et impraticables et le manque d’infrastructures de base sont parmi les points soulevés par la population locale.
Les travailleurs de l’hôpital de Boufarik ont observé, avant-hier, un sit-in au sein de l’hôpital pour protester contre les fréquentes agressions dont ils sont victimes et l’insécurité qui règne dans l’hôpital.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...