Boufarik : La mal-vie des seniors…
D’ici l’an 2040, l’Algérie comptera 9 millions de personnes âgées.
D’ici l’an 2040, l’Algérie comptera 9 millions de personnes âgées.
Les valeurs sont le capital de l’être humain et les perdre, c’est perdre sa dignité et sa personne aussi. Ainsi, il est temps que le Boufarikois reprenne son civisme et le sens de citoyenneté pour espérer revoir un jour le Boufarik d’autrefois.
Dans une lettre de détresse, les habitants de la ville de Boufarik interpellent le président de la République pour intervenir afin de stopper la clochardisation de la ville.
A voir le cas de la famille de Lies. B., de la localité de Maassouma, située à 8 km à l’est de la ville de Boufarik, on se demande à quoi servent les commissions de logement créées au niveau des daïras, et à quoi servent les dispositifs sociaux mis en place pour la prise en charge des familles démunies.
Un groupe d’amis, tous jeunes et issus des quartiers Menad et des Fidaïs, s’occupent depuis le début du mois sacré du Ramadhan de la prise en charge des personnes démunies et des passagers.
A la veille du mois sacré du Ramadhan, les éléments de la Sûreté nationale ont procédé à l’arrestation de plusieurs dealers et jeunes portant des armes blanches à Boufarik.
Le manque criant de parkings dans une ville qui compte plus de 100 000 âmes, en plus de l’inadéquation des infrastructures routières, rendent aléatoire toute décision de régularisation de la circulation automobile.
La famille des enseignants de Boufarik, tous paliers confondus, vient de perdre à jamais l’un des siens, en l’occurrence Benmihoub Hakim, professeur de mathématiques au collège Bendar.
La ville de Boufarik, qui accuse un énorme déficit en matière du foncier, est devenue La Mecque de l’habitat précaire. A titre d’exemple, le quartier Mimoune compte une dizaine d’habitations précaires, construite illicitement durant les débuts de l’année 2000.
Bendiffallah Kamel est décédé dimanche à l’âge de 79 ans suite à une longue maladie. Professeur, licencié en lettres françaises, il a enseigné à des générations de jeunes Algériens la langue de Molière tout en pratiquant le sport, notamment le football.
«Chitana», «Double bombe», «signal», tels sont les noms donnés aux différents pétards de toutes formes qui ont causé des dégâts lors de la nuit du Mawlid Ennabaoui.
Et ça continu en 2018 ! :sad:
Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...
Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...
Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...
:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...