D’ici l’an 2040, l’Algérie comptera 9 millions de personnes âgées.

A l’instar des autres du pays, ceux de Boufarik vivent une situation des plus précaires. Beaucoup de contraintes rendent la vie dure aux seniors ; leur quotidien se résume en un cérémonial routinier. «En dehors d’un petit tour au marché, on a une seule place où on se rencontre entre anciens amis, c’est la place en face de la grande mosquée, sinon la mosquée et la maison», confie un vieux Boufarikois.

Les axes importants devant accompagner les personnes âgées en matière de prise en charge sont très minimes, pour ne pas dire inexistants. «Les personnes âgées  à Boufarik manquent de prise en charge sur les plans pathologique, physiologique, psychologique et social», dira un médecin de l’hôpital de Boufarik. Les dernières étapes de la vie humaine qu’on appelle le troisième âge sont plus difficiles, insiste un psychologue, et d’ajouter : «Cette partie de la vie représente la tranche qui peut être synonyme de maladies et la perte de leur indépendance.» Nombreux sont ceux qui souffrent de maladies diverses telles que l’hypertension, le diabète, rhumatisme, glaucome ou l’Alzheimer. Le vieux Boufarikois pourra-t-il espérer des jours meilleurs après une longue et pénible vie de labeur ? Il lui manque des espaces verts, jardins publics, ainsi que des prestations médicales à domicile..


Source: El Watan - 25 aout 2015


Ajouter un commentaire

Derniers Commentaire

Et ça continu en 2018 ! :sad:

Bonjour, étant un ancien élève de ce prestigieux Lycée de 78 à1982, je garde de très beaux...

Salami je vous conseil de fermer ce l'y car il n est pas a la place qu' il faut je pense qu' il...

Salam, Bonjour J'ai fréquenté le Lycée Ibn Toumert entre 1981 et 1984. J'avais M.Delettre comme...

Fanfare de Boufarik
02.02.2018 22:55

:sigh: Yes!!! je me retrouve pendant ses années; lorsque la musique n'etait pas une...